"Aie confiance en toi-même, 
et tu sauras vivre." GOETHE



QUI ÉTAIT PIERRE MIGNARD ? 
 "Le Christ et la Samaritaine" Pierre Mignard (1612-1695), 
premier peintre du roi.

Peintre français renommé pour ses portraits. Rappelé en 1657 à la cour de France après un long séjour en Italie où il s'imprègne de la manière des Carrache et des baroques italiens et où ses talents de portraitiste lui attirent les faveurs du pape Urbain VIII, il revient à Paris auréolé de gloire. 

Hostile aux visées de Le Brun, il refuse de devenir membre de l'Académie, attitude qui lui vaudra d'être écarté des commandes officielles. Anne d'Autriche lui commande néanmoins la décoration du dôme du Val-de-Grâce, son oeuvre majeure. Portraitiste d'écrivains et de femmes, il peint les portraits de Molière, de Bossuet, de Mme de Montespan, de Mlle de la Vallière, de Mme de Sévigné. 

En 1690, il renoue avec les honneurs et la gloire officielle lorsqu'à la mort de Le Brun, il est nommé premier peintre et directeur de l'Académie. 

QUI ÉTAIT LA SAMARITAINE ?

Selon la tradition du christianisme, une femme, la Samaritaine se repose près d'un puits, Jésus lui demande à boire, la Samaritaine s'étonne qu'il ose, lui, un Juif, lui demander de l'eau : les Juifs méprisaient les Samaritains et ne leur adressaient pas la parole. Jésus a confience en son prochain. La confiance, lieu de l’accueil du don de Dieu

Jésus et la Samaritaine (Jean 4.1-42)

Jésus arrivait à une ville de Samarie, appelée Sykar, près du terrain que Jacob avait donné à son fils Joseph, et où se trouve le puits de Jacob. Jésus, fatigué par la route, s'était assis là, au bord du puits. Il était environ midi. Arrive une femme de Samarie, qui venait puiser de l'eau. Jésus lui dit : « Donne-moi à boire. » La Samaritaine lui dit : « Comment ! Toi qui es Juif, tu me demandes à boire, à moi, une Samaritaine ? » (En effet, les Juifs ne veulent rien avoir en commun avec les Samaritains.) Jésus lui répondit : « Si tu savais le don de Dieu, si tu connaissais celui qui te dit : 'Donne-moi à boire', c'est toi qui lui aurais demandé, et il t'aurait donné de l'eau vive. » 


MUSIQUE D'UN BONHEUR CONTAGIEUX
"Toujours un coin qui me rappelle" · Eddy Mitchell



cette chanson est un des standards des années 60, immortalisé par un contingent d'idoles de l'époque comme Sandie Shaw, surnommée à l'époque la chanteuse aux pieds nus.    

Chanteur de Gospel, de Soul puis de Jazz, Lou Johnson est le premier a enregistrer cette chanson signée de l'immense Burt Bacharach compositeur américain à qui l'on doit une bonne centaine de N°1 galactiques. La chanson devient très vite un hit énorme en Angleterre où elle sera réadaptée par toutes sortes d'interprètes plus ou moins inoubliables.

Impeccable en nœud pap', smoking satiné et banane gominée, aucun autre, qu'Eddy Mitchell, ne pouvait faire découvrir ce hit planétaire à la génération "salut les copains". Un demi siècle plus tard cette version française "Toujours un coin qui me rappelle" est aussi fraîche qu'au premier jour et Monsieur Eddy, toujours aussi classe.


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